La Dérobade

• L’écrivaine française Jeanne Cordelier est née à Paris en 1944. Son premier roman, La Dérobade, a été un succès littéraire et commercial en France et à l’étranger. Il a été traduit en 19 langues.
• En anglais, le titre est The Life, publié en 1978 par Viking press et traduit par Harry Mathews.
• En 1980, l’auteur quitte l’establishment parisien, fait ses propres choix et fonde une famille en Suède. Elle a vécu et travaillé en Suède pendant dix-sept ans.
• Parmi ses contributions à la vie culturelle suédoise, on peut citer son rôle de conseillère auprès de la maison d’édition Interculture, spécialisée dans la traduction d’auteurs français en suédois.
• Son fils a eu 20 ans en 2000. Il est diplômé de la London School of Economics et de l’université de Westminster après avoir étudié l’histoire internationale et la diplomatie.
• En 1997, Jeanne Cordelier et sa famille quittent la Suède et entament une période de vie dans les pays en développement, en Inde, au Vietnam, en Éthiopie et en Albanie.
• En 2004, elle revient en Europe pour s’installer dans un environnement rural dans le sud-ouest de la France. Toujours en mouvement, Jeanne Cordelier a également vécu en Belgique, en Italie, aux États-Unis, au Canada, au Vietnam, en Éthiopie et en Albanie. Elle a séjourné dans 14 pays d’Europe, 8 pays d’Asie et 6 pays d’Afrique.
• Mais là où elle préfère être, c’est au pays des mots. Un pays qui, comme la vie elle-même, nous demande chaque jour de nous améliorer. Il suffit de ne pas oublier que sous le siège, quel qu’il soit, il n’y a pas de gilet de sauvetage.
• De 1997 à 1999, Jeanne Cordelier a vécu au Viêt Nam, ce qui lui a inspiré un roman sur le Viêt Nam, Hanoi Blues. Pendant deux ans, elle a vécu en Éthiopie, où Rimbaud l’a précédée.
• Ces années ont influencé Les mots du moi, où l’on trouve toujours des images de tous ces pays où Jeanne a vagabondé.

Aujourd’hui, elle s’est installée en France, où elle vit dans une ferme restaurée dans une région rurale du sud-ouest du pays. Son dernier livre est constitué de ses mémoires 1976-2010, Reconstruction, Phébus 2010.

Pour plus d’informations, le site web de Jeanne est le suivant : www.jeannecordelier.com